Je suis Valérie Reybaud, coach parentale, et formatrice accréditée en communication relationnelle, approche Gordon, spécialisée dans le développement des habiletés parentales relationnelles.
J'ai créé Lougrit pour vous, parents des 1-16 ans, qui êtes fatigués de lutter avec vos enfants.
consultations destinées aux parents d'ado centrées spécifiquement sur la mise en place des outils d'une communication, adaptée et ajustée, essentielle au maintien du lien de confiance.
Je vous aide à prendre du recul et à comprendre ce qui se joue dans la relation.
Je propose un accompagnement qui vous est destiné, ciblé et ajusté au plus près de vos besoins et des difficultés que vous rencontrez.
Cette rentrée 2024 est marquée par l'arrivée de nouvelles consultations destinées aux parents d'ado. Ces consultations sont centrées spécifiquement sur la mise en place d'outils d'une communication, adaptée et ajustée à cet âge si particulier, et essentielle au maintien du lien de confiance.
Je construis avec vous des solutions 100 % personnalisées pour sortir des crises et vous sentir écoutés.
Mon rôle est de vous guider vers un quotidien plus paisible, vers des relations familiales plus harmonieuses, et de vous aider à sortir des schémas répétitifs pour retrouver des relations épanouissantes et le bonheur de passer du temps ensemble grâce à des solutions durables.
Vous reprenez peu à peu le chemin de la relation avec confiance et vos enfants s'épanouissent une fois le lien de connexion renforcé.
Je mets à votre disposition différentes formules pour vous guider dans votre rôle de parent selon la nature des situations que vous vivez.
Formée à la psychologie de l’enfant et de l’adolescent, j’ai exercé en milieu hospitalier, en pédiatrie, autour du lien parent-enfant-soignant, dans le contexte de pathologies lourdes avant de choisir de me recentrer et de faire une pause parentale après un deuil difficile.
Les relations humaines ont toujours été mon moteur. La problématique du lien est essentielle entre nous, la relation reste continuellement à construire et entretenir.
A commencer par celle qui nous lie à nos enfants. Une relation parfois malmenée bien malgré nous, dont il faut prendre soin, dans laquelle veiller à ce que chacun respecte l'autre et se respecte soi. Dès aujourd'hui et pour toute la vie !...
Parce que les relations familiales peuvent être difficiles comme n'importe quelles autres relations. Mais contrairement aux relations amicales, amoureuses ou professionnelles qu'il est possible de relâcher, couper les liens du sang est plus compliqué. On tente ce qu'il y a à tenter pour rester en relation avec les membres de notre famille.
L'amour peut fluctuer, le lien, lui, ne varie pas. Et c'est ce qui importe : le jeune doit pouvoir être certain que quoiqu'il arrive, son parent répondra présent.
Mère de deux jeunes ados, dont un au profil atypique, très différents dès leur plus jeune âge, l'observation et l'expérience directe de la relation à mes enfants m'ont conduite à opérer bon nombre de remises en questions et à revoir le modèle que j'avais en tête !
Je me suis pris les pieds dans le tapis bien des fois... La vérité, c'est que tant que l'enfant n'est pas là, tout est possible. On ne sait pas encore qu'on ne sait rien ou pas grand chose.
Après ? Eh bien on s'adapte et on bouscule un peu ses plans ! Oui...Oui.. Même quand on a fait psycho !
Exit les schémas en tête, les solutions toutes faites et autres principes... Bon, bien sûr, ça tangue un peu parfois, il arrive qu'on y laisse quelques plumes, qu'on se sente perdu, dépassé... Et terrassé par la peur de mal faire...
Pour ma part, j'ai du changer de lunettes, emprunter peu à peu un chemin découvert doucement, à petits pas, fait de tâtonnements, d'expérimentations et d'ajustements permanents.
J'ai constaté assez vite combien nous pouvions être poussés dans nos retranchements en tant que parents et combien changer de regard, nous placer à hauteur d'enfant afin d'avancer ensemble était nécessaire et facilitant.
L'enfant ne cherche qu'une chose, grandir en lien, être compris pour ce qu'il est et être accompagné dans la satisfaction de ses besoins. S'il s'oppose à nous, si ses comportements sont parfois explosifs, c'est qu'il a quelque chose à nous faire savoir et notre présence empathique est alors essentielle.
Permettre à notre enfant de devenir la meilleure version de lui même, tisser ce lien durable et indéfectible entre nous est notre plus grand challenge.
La psychologie a évolué depuis mes débuts et la lecture du développement de l'enfant à la lumière du modèle psychanalytique, encore parfois vivement soutenu, ne tient plus aujourd'hui.
Non, l'enfant n'est pas ce petit monstre tyrannique, et malveillant, dominé par ses pulsions, qui mène tout le monde par le bout du nez ! Ce qu'on a longtemps cru et que certains croient encore.
C'est un être en construction, doué d'empathie, sur lequel il est nécessaire de poser un regard différent, et qui mérite d'être traité avec respect et éduqué sans violence.
En France, cette vision et ce discours autour de l'éducation par le pouvoir, initié par l'adulte, ne l'oublions pas, sont encore très prégnants, faute d'un changement de regard sur l'enfant par notre société.
N'en déplaise à papa Freud, nous commençons enfin à savoir et à mieux comprendre ce que cache le cerveau de nos enfants. Ce qui devrait permettre de changer définitivement la lecture que nous avons de leurs comportements et de mieux cerner ce qui va dans le sens d'un bon développement.
Je vous reçois aujourd'hui en tant que coach parentale. La majorité des difficultés que nous rencontrons au quotidien avec nos enfants sont d'ordre relationnel et communicationnel. Pour s'améliorer, elles nécessitent le plus souvent un arrêt sur image, une analyse de la situation et une redirection des réponses que nous y apportons.
Les pistes de compréhension en lien avec notre propre histoire, les connaissances peuvent nous manquer, le "comment faire" nous échapper... Ce qui peut conduire à gripper la relation chaque jour davantage. L'accompagnement apporte alors un éclairage précieux et vous permet de tout remettre à plat pour mieux repartir et reprendre pied dans la relation.
Il ne s'agit pas d'une méthode miracle ou infaillible, mais d'une approche pragmatique pour vous aider dans l'observation et l'accompagnement de votre enfant.
Formée à l’Ecole des Formations Positives crée par Charlotte Uvira, ma pratique s'appuie sur la théorie de l’attachement, l'écoute empathique, les neurosciences affectives et émotionnelles.
Je me nourris également de ce qui se passe ailleurs, sous d'autres latitudes, là où les savoir-faire en matière de parentalité se transmettent naturellement de mère en fille quand, chez nous, devenir parent relève le plus souvent de la navigation à vue.
Le coaching parental répond aux attentes des parents d'aujourd'hui, il leur fournit des outils pour aider leurs enfants à s'épanouir tout en préservant un quotidien serein quand les relations ne nécessitent pas le recours à un soutien thérapeutique, ce que ne saurait apporter cette forme d'accompagnement.
J'ai poursuivi ma route en choisissant de devenir formatrice à l'approche de Thomas Gordon - psychologue humaniste, disciple de Carl Rogers - qui propose des outils simples et concrets pour une communication bienveillante et efficace en famille, basée sur une approche centrée sur la personne, l'écoute et l'expression positive des besoins, pour les parents comme pour les enfants, petits et grands.
Désormais amplement reconnus, ces apports constituent un support précieux pour les parents, et méritent d’être largement partagés. Vous les transmettre est mon principal moteur.
C'est là toute ma motivation à vous accompagner aujourd'hui.
Des alternatives aux jeux de pouvoirs, inutiles et épuisants, existent bel et bien. Et c’est très réjouissant.
Le coaching parental est un nouveau métier. De ce fait, il n'est pas encore encadré, ni régi par un code de déontologie commun.
1 - Positif pour tous !
L’éducation positive est bonne pour tous les membres de la famille. Elle contribue à réduire le stress familial et permet l’épanouissement de chacun. Ainsi, l’éducation positive ne devrait pas mener à l’épuisement parental, à l’oubli de soi, à l’augmentation de la charge mentale ni au laxisme.
2 - Une éducation relationnelle
L’éducation positive est relationnelle, dans le sens où :
3 - Un cadre Déontologique
L’éducation positive n’est pas une thérapie.
Le coach parental connait les limites de son métier et est à même de détecter des obstacles développementaux ou pathologiques. N’agissant ni en tant que soignant ni en tant que thérapeute, il a à cœur d’orienter les familles dont les difficultés dépassent la seule sphère éducative et son champ d’action, vers les thérapeutes détenant l’expertise appropriée.
Ses interventions permettent au parent de développer ses connaissances et compétences éducatives, d’obtenir plus de clarté sur les choix qui s’offrent à lui et de gagner en confiance. C’est pourquoi, s’il peut suggérer certaines approches au parent jamais il ne peut se substituer à lui.
Le coach parental sépare son intervention en éducation positive des autres méthodes dont il peut être le détenteur ou utilisateur. Il signale que ces méthodes sortent du cadre de l’éducation positive et relationnelle et documente le parent pour le rendre à même de faire ses choix.
4 - Avec Responsabilité
L’éducation positive et relationnelle postule que le parent a une place d’autorité saine et légitime à occuper auprès de ses enfants afin de les guider, de les protéger, de les sécuriser, de leur permettre de se connaître et s’aimer, de développer leurs compétences psychosociales et ainsi trouver leur place dans la société dans laquelle ils grandissent.
Le coach est présent pour faire émerger les compétences du parent par un travail sur soi, notamment pour devenir autonome dans son rôle éducatif et être à même de dépasser les difficultés qu’il rencontre ou rencontrera en utilisant les connaissances, valeurs et outils de l’éducation positive et relationnelle.